lundi 14 décembre 2009

Dépendance affective et plaisir masturbatoire.

  Depuis mon arrivée à Toulouse chez mes parents, Fourrure me manque. Chaque fois c’est la même dépendance qui se met en marche, dépendance affective. Je croyais pourtant n’être dépendant à rien (le génocide de zombies n’est pas encore une dépendance avérée), ça me réconfortait de temps en temps, mais en réalité je me trompais. Cette dépendance affective se couple très rapidement d’un fort désir à caractère sexuel (dépendance sexuelle?). Quelle frustration affreuse! 

   Hier soir sur MSN, en pleine discussion avec Zizi Plat sur le fait de savoir si l’on pourrait se voir pendant mon séjour, j’ai eu comme l’étrange impression que ses intentions étaient plus qu’indécentes! Vous me direz, avec le surnom que je lui donne, qui pourrait s’en approcher à part les adorateurs du zizi disgracieux? Pas moi, même en ces temps de disette sexuelle! Avec ces personnes là, qui n’expriment que sécrétions et phéromones, mieux vaut retourner en état d’hibernation (ou de constipation continue, au choix), le moindre mouvement vers eux étant interprété ou décodé par leur appendice, plat de surcroît!

   Vouloir profiter de l’éloignement de Fourrure, sale bête je te maudis. Si j’étais aussi tendu sexuellement qu’il le prétend, j’aurai recours au plaisir masturbatoire, option Mansoap éventuellement (en cas de graves tensions). Je le cache pas, je suis intrigué par ce pendant masculin du petit canard. Pour le décrire en quelques lignes, il s’agit d’un anneau en savon avec lequel on fait des va et vient le long du zizi, de quoi rendre les douches torrides à souhait… 

   Allez hop, je commande! Si Zizi Plat se manifeste, je le lui enfile, il me foutra la paix et une conversation digne d’intérêt pourra naître, qui sait?

(En réalité, si j’en commande un, ce sera entièrement et  égoïstement pour moi!)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire